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vendredi 30 mars 2018

Les échecs successifs du président tunisien

Le président Béji Caïd Essebsi,
Voici un résumé non exhaustif des échecs successifs du président Béji Caïd Essebsi, échecs dus à ses choix politiques et nullement à son âge.

– L’échec de la gouvernance

Au lendemain de sa victoire, Béji Caïd Essebsi a provoqué une énorme surprise en choisissant Habib Essid comme chef du gouvernement. Habib Essid est un homme sans carrière militante ni positionnement politique, c’est un haut fonctionnaire qui a servi tous les pouvoirs, islamistes compris. Il ne possède pas de charisme, est inapte à discourir et n’a fait montre d’aucune vision, ce qui a abouti à la mise en place d’un gouvernement faible qui, loin de résoudre les différentes crises, n’a même pas réussi à assurer le fonctionnement minimal de l’État.

– L’absence de « Haybet edawla » (le prestige de l’État)

Le prestige de l’État était un leitmotiv de Béji Caïd Essebsi durant sa campagne, il a mille fois fait miroiter une gouvernance qui redonnerait à l’État sa puissance et à la Tunisie sa souveraineté (Siada). Mais Béji Caïd Essebsi a préféré gouverner avec ceux qui ont justement affaibli l’État de façon drastique par le recrutement de 100 000 fonctionnaires superflus et par une incompétence qu’ils ont eux-même reconnu plusieurs fois, de façon officielle. Béji Caïd Essebsi  a donc, d’emblée, laissé l’État subir une incompétence affirmée, diluant ainsi le pouvoir et empêchant l’État de renouer avec son efficacité et son prestige.

– L’absence de vérité sur les grands dossiers du pays

On se souvient de la vigueur avec laquelle Béji Caïd Essebsi disait qu’il allait rétablir la vérité sur les assassinats politiques et sur le terrorisme. Mais rien n’a été fait dans ces domaines, bien au contraire.

Alors que le rôle d’Ennahdha dans l’encouragement au recrutement de milliers de Tunisiens vers l’enfer terroriste en Syrie est hautement reconnu à travers de multiples déclarations et témoignages, Béji Caïd Essebsi a tout fait pour noyer le poisson et éviter à ses alliés l’ouverture d’un dossier très épineux. D’ailleurs, même aujourd’hui, alors qu’une commission parlementaire sur le recrutement des terroristes a été mise en place, celle-ci ne jouit d’aucun soutien, ce qui est assez significatif de l’absence de volonté de Béji Caïd Essebsi d’établir la vérité sur ce crime contre la jeunesse tunisienne, contre la Tunisie devenue la plus grande plateforme au monde de terroristes, et contre l’humanité.

Quand à la vérité sur les assassinats politiques et sur les autres attentats terroristes qui ont frappé la Tunisie, tous ceux qui se sont penchés sur ces dossiers savent que la justice a joué un rôle trouble et que jamais l’Exécutif n’a manifesté la moindre volonté pour faire connaître la vérité.

– L’absence de lutte contre la corruption

Au lieu de lutter contre la corruption de front, Béji Caïd Essebsi a renforcé l’impunité des corrompus. De quelle manière ? La lutte contre la corruption, déjà divisée entre plusieurs instances dédiées, a été encore plus diluée par un projet de loi qui, deux ans après, fait encore polémique mais demeure la principale priorité du président Caïd Essebsi, c’est d’ailleurs l’unique projet de loi qu’il ait présenté.

– Le retour du népotisme

Béji Caïd Essebsi a laissé son propre fils prendre de façon illégale et illégitime le contrôle du parti vainqueur aux élections, contribuant ainsi à le diviser et à le détruire. Il a ainsi montré qu’il est incapable de faire respecter la première valeur de la République qui est le rejet du népotisme.

Politique étrangère

Toute la politique étrangère initiée par Ennahdha et qui a placé la Tunisie sous la houlette, sinon la tutelle, de puissances orientales a été maintenue par Béji Caïd Essebsi.

– Absence de politique présidentielle

La présidence de la République tunisienne travaille au jour le jour, subissant les faits et l’actualité, incapable de concevoir un redressement du pays. Tout cela a pour cause l’absence totale de culture politique qui a entraîné une terrible faiblesse de la politique présidentielle qui s’est limitée à la résurrection tronquée d’un bourguibisme qui n’a strictement rien à voir avec les valeurs véritables du bourguibisme. Les seules actions notoires de la présidence étant le déplacement des statues du Zaïm.

Aucune action culturelle à visée nationale n’a permis à la Tunisie de mettre en avant les nouvelles valeurs de liberté et de dignité qui ont pourtant joui d’une reconnaissance mondiale.

Il ne peut être tiré de conclusion que l’échec continu du président  tunisien Béji Caïd Essebsi par

1-Il a tendu  la main au mouvement d’Ennahda qui a constitué une milice  donnant au monde une mauvaise image de la Tunisie terre de l'islam et de la tolérance par le biais du terrorisme  

2-Il a  déraciné le pays de son origine arabo-musulmane par le biais de la Laïcité et il a été félicité par les occidentaux contre quelques  sommes  dérisoires d’argent tout en laissant le pays s’enfoncer  dans l’endettement  et par conséquent  une éventuelle colonisation dans l’avenir proche.

Toutefois ,il est utile de le rappeler que  Bourguiba premier président de la Tunisie indépendante était laïque aussi et n'a pas fait ce qu'a fait Béji Caïd Essebsi en donnant un grand coup fatal au dos à l'islam et à  la Tunisie grenier de Rome et terre de l'humanité et toutes ses civilisations successives principalement musulmane

En général il faut rajeunir la Tunisie au niveau de la présidence et le gouvernement et surtout l'article du nouveau destour tunisien concernant la présidence en donnant la chance aux jeunes de gouverner avec un esprit jeune et abolir toutes les lois visant le changement des racines de la Tunisie musulmane et souveraine

mardi 13 mars 2018

L’arbre gigantesque en Tunisie

L’arbre gigantesque à Tataouine au sud de la Tunisie

Le village de Douiret est situé à 22 kilomètres sud-ouest de Tataouine dans une région montagneuse. Le vieux village transformé en ruines est surmonté par sa citadelle ou ksar surplombant la crête de la montagne. Au dessous, s'étageaient des habitations troglodytiques serpentant autour du flanc de la montagne sur une longueur de près de 3 km. Les logements (composés de pièces creusés dans la montagne et des 'ghorfas' construites en avant de la cour) sont aujourd'hui quasiment abandonnés et dont la plupart transformés en ruines sauf la mosquée blanche attirante située a mi-village (connue sous le nom de 'Mosquée du Palmier' ou Jamaa en-Nakhla)

L’olivier gigantesque appelé l’olivier d’Elakarite dans la région de douirette  au gouvernorat de Tataouine au sud tunisien est le plus grand arbre en Tunisie et au bassin méditerranéen âgé de 900 ans environ avec une circonférence de 116 mètre  et une frondaison de plus de 2OOO mètres carrés. Selon son propriétaire cet olivier a donné  une production de 1520 litres d’huile d’olive en 1996.