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samedi 28 novembre 2020

Combien de bactéries au corps humain ?

 Combien de bactéries au corps humain ?

Il ne se passe pas une semaine sans qu’une étude publiée dans la littérature biomédicale ne vienne affirmer ou souligner l’importance du microbiote – l’ensemble des bactéries hébergées par un être humain, principalement au niveau intestinal – sur le fonctionnement physiologique de l’organisme ou dans telle ou telle maladie. Très souvent, les articles mettent en avant que le nombre de bactéries qui tapissent la surface des intestins, de la peau, la muqueuse buccale et la conjonctive de l’œil, est dix plus importante que celui de nos propres cellules. Il arrive même parfois de lire que ce rapport est de 100/1. Autrement dit, que chaque homme et femme héberge une plus grande quantité de bactéries que de cellules humaines.

C’est cette affirmation, maintes et maintes fois répétée depuis des années dans les revues scientifiques et médicales (et récemment dans la presse grand public) qu’ont voulu vérifier des chercheurs israéliens. A vrai dire, en 2014, un biologiste des Instituts américains de la santé (NIH), Judah Rosner, avait déjà émis de sérieux doutes sur la validité de ce ratio 10/1 entre bactéries et cellules humaines.

Microbiote

Les chercheurs israéliens se sont livrés à une analyse approfondie des publications faisant état d’une estimation de notre fameux capital bactérien. Ils sont ainsi remontés à un article publié en 1977 qui rapportait qu’environ 1014 bactéries résident dans le côlon. En d’autres termes, cent mille milliards de microbes élisent habituellement domicile dans notre gros intestin. De fait, presque tous les articles récents relatifs au nombre de bactéries composant chez l’homme la flore bactérienne de l’intestin (microbiote intestinal) repose directement ou indirectement sur cet article de 1977, qui lui-même reprend le chiffre d’une publication parue en 1972. L’estimation de ce dernier article, selon laquelle le tube digestif contient donc 1014 bactéries intestinales, repose sur la supposition que 1011 bactéries sont présentes par gramme de contenu du tube digestif, lequel représente environ 1 litre (soit 1 kg, donc 103 g).

C’est ce chiffre de 1014 que contestent Ron Milo et Ron Sender de l’Institut des sciences Weizman (Rehovot, Israël), ainsi que Shai Fuchs (qui travaille aujourd’hui à l’Hôpital des enfants malades de Toronto, Canada). Ces chercheurs mettent en avant que le nombre de bactéries dans les régions du tube digestif situées en amont du gros intestin est négligeable en comparaison à celui-ci. Ainsi, selon eux, une densité bactérienne de 1011 bactéries par gramme ne vaut que pour le côlon.

Dans un article posté sur bioRxiv, site d’archives de prépublications scientifiques en biologie, ces chercheurs battent en brèche l’idée très largement répandue selon laquelle on compte dix fois plus de bactéries dans l’intestin que de cellules composant le corps humain. Leurs estimations tiennent compte d’un vaste corpus de données expérimentales récentes. D’abord, d’analyses du contenu en ADN permettant de déduire le nombre de cellules contenus dans divers organes. Ensuite de calculs du volume de ces derniers à partir de l’imagerie médicale.

Ces chercheurs estiment que le nombre total de bactéries hébergées par un « homme de référence » (comprendre un être humain âgé de 20 à 30 ans, pesant 70 kg et mesurant 1,70 m) est de 3,9.1013, avec une marge d’erreur de 25%. Au total, les cellules sanguines représenteraient environ 90% de la totalité des cellules du corps humain. Un homme standard serait, lui, composé de 3.1013 cellules, autrement dit de 30 mille milliards de cellules, là encore avec une marge d’incertitude de 2%.

Selon les auteurs, les globules rouges (qui comptent parmi les plus petites cellules) représentent 84% de la totalité des cellules du corps humain, les plaquettes sanguines 4,9%, les lymphocytes (globules blancs) 1,6%, les cellules endothéliales qui tapissent l’intérieur des bronches 4,9%, les cellules endothéliales qui recouvrent l’intérieur des vaisseaux sanguins 2,1%, les cellules de la moelle osseuse 2,5%, les cellules graisseuses (adipocytes) 0,2 %, etc.

Au terme de leurs calculs et de leur analyse, il ressort néanmoins que le poids des globules rouges ne serait finalement que de 2,5 kg, alors que celui des adipocytes serait de 13 kg et celui des cellules musculaires de 20 kg. Ainsi, selon les chercheurs, 75% de la masse cellulaire totale serait constituée par deux types cellulaires : les cellules graisseuses et les cellules musculaires, toutes deux de grande taille. Il existerait donc un surprenant décalage entre le nombre de certains types de cellules et leur masse.

Cette analyse quantitative doit encore être évaluée par des experts (processus du peer-review ou relecture par les pairs) avant d’être publiée dans une revue scientifique. Il n’empêche. Elle fait voler en éclat le mythe selon lequel le nombre de bactéries surpasserait de très loin celui des cellules humaines. En effet, le ratio bactéries/cellules humaines, loin d’être de 10/1 comme on le lit partout, serait plutôt proche de 1/1. Plus précisément, il avoisinerait 1,3/1. En d’autres termes, « le nombre de bactéries dans nos corps est en fait du même ordre que le nombre des cellules humaines », soulignent les auteurs.

Cette nouvelle estimation à la baisse du rapport bactéries/cellules de 10/1 à quasiment 1/1 ne saurait cependant conduire à une sous-estimation de l’importance du microbiote, insistent les auteurs. Pour autant, ils se déclarent « convaincus qu’un nombre [de bactéries] largement mentionné [dans les publications] devrait être basé sur les meilleures données disponibles ».

Selon les chercheurs, le nombre de bactéries et de cellules humaines est finalement semblable. Comme pour se faire mieux comprendre, ils concluent le plus sérieusement du monde qu’il se peut que chaque défécation, en expulsant son lot de matières fécales, rétablisse le ratio bactéries/cellules humaines en faveur de ces dernières. Entre bactéries et cellules humaines, l’équilibre numérique se joue donc peut-être aux toilettes.


lundi 23 novembre 2020

Covid-19, vaccins : réalité ou science-fiction ?

 Covid-19, vaccins : réalité ou science-fiction ?

90% d’efficacité pour Pfizer, 92% pour le vaccin russe spoutnik, 94,5 pour Moderna. Pfizer, en annonçant la semaine dernière un taux de 95% sur les résultats complets de son essai, reprend la tête. La course au vaccin contre le Covi-19 est lancée. Elle prend la forme d’une absurde bataille de chiffres. 

Derrière ce peloton de tête, plus de 200 candidats ont été recensés, dont 10 sont désormais en phase III. Citons Le vaccin développé l’Université d’Oxford en lien avec la société biopharmaceutique Astra Zeneca et le laboratoire français Sanofi qui promet un vaccin en juin 2021.

Le PDG de Pfizer Mr Bourla a vendu 5,6 millions de dollars d’actions le jour de l’annonce de l’efficacité de son vaccin. Son adjointe a gagné 3 millions de dollars en deux heures. 

Déjà les commandes affluent. La commission européenne a approuvé un contrat pour 300 millions de doses et la France à elle seule aurait pré réservé   90 millions de doses du vaccin.

Les deux vaccins en tête Moderna et Pfizer ont développé un procédé de vaccination radicalement nouveau. Ces vaccins dits à ARN messager ont pour principe d’injecter un ARN messager du Sars-CoV-2 qui induit la synthèse d’une protéine du virus. Cette protéine va jouer le rôle d’un antigène et stimuler la production d’anticorps par le système immunitaire.

L’heure est à l’enthousiasme. Pour nos autorités sanitaires, le vaccin représente le salut, l’arme absolue pour mettre fin à la pandémie. 

Autrefois la mise au point d’un vaccin se comptait en années. Ces vaccins à ARN ont été conçus avec une prodigieuse rapidité. On ne dispose d’aucun recul pour garantir leur efficacité et leur innocuité. Pourtant ces nouveaux vaccins présentent des risques spécifiques, risque d’emballement des anticorps et de modifications épi génétiques. 

En février dernier Le Pr Raoult faisait part de son scepticisme :« Le vaccin est une espèce de réponse automatique en cas de crise, mais la probabilité de faire un vaccin acceptable, utilisable et fonctionnel est extrêmement faible. La presse se jette sur ce sujet, vous dit qu’on va avoir un vaccin dans 22 mois, 25 mois, 26 mois, 14 mois. Tout ça, c’est de la science-fiction ».

La prescription d’un vaccin exige d’évaluer si le bénéfice l’emporte sur le risque. Or on sait que la mortalité de la Covid-19 s’élève au maximum entre 0,1 et 0,7 % de la population et qu’elle concerne des populations bien ciblées : les personnes âgées et celles présentant une comorbidité (diabète, hypertension, etc..). La Covid-19 se manifeste dans l’immense majorité des cas comme une maladie bénigne. Dans ces conditions, si on vise une vaccination de masse seul un vaccin sûr sans le moindre risque est acceptable. Pour pouvoir utiliser un vaccin, il faut que le bénéfice soit très important par rapport au risque. Or si on gère les choses de façon raisonnable, il n’y a pas de morts en dessous de 65 ans, sauf personnes avec cancer métastasé. Donc les gens atteints sont les gens de plus de 80 ou 85 ans, et on sait avec la grippe que ces gens sont très peu réactifs au vaccin, donc cela va être compliqué de faire un vaccin pour eux. Quant à donner le vaccin à des plus jeunes, quand vous êtes dans des taux de mortalité de 0,01 %, il faudrait tester des centaines de milliers de personnes, voire des millions de personnes, pour être sûr que le vaccin est sûr, qu’il ne présente pas plus de dangers que d’avantages pour une maladie qui a un taux de mortalité aussi faible. » Or certains laboratoires ont déjà rencontré des complications graves : le vaccin d’Astra Zeneca vraisemblablement causé 2 deux maladies graves (sclérose en plaque et myélite transverse). Le groupe Johnson et Johnson a lui aussi dû interrompre l’essai clinique sur son vaccin, car un des participants a présenté une « maladie inexpliquée »9

En définitive, on peut craindre que toute cette mobilisation, tout cet argent dépensé pour mettre au point un vaccin se révèlent inutiles. C’est l’avis des épidémiologistes. Même si la recherche scientifique fait un petit miracle en accouchant d’un vaccin sûr et efficace avant l’été prochain, il arrivera trop tard. Car tout indique que l’essentiel de l’épidémie sera terminé à l’été prochain. Déjà ce qu’on observe aujourd’hui avec le retour de la saison hivernale, n’est pas une vague exponentielle, comme en mars dernier. Si le coronavirus circule largement cet hiver, l’immunité collective sera probablement acquise au printemps. A la sortie de l’hiver, on aura donc atteint le même résultat qu’avec un vaccin efficace : la majorité des individus devraient être immunisés contre la Covid-19. Le coronavirus ne disparaîtra pas pour autant, il s’ajoutera aux 200 virus de l’hiver et aux infections respiratoires habituelles, sans « faire de vague ». C’est pour la majorité des épidémiologistes le scénario le plus crédible. Par ailleurs ce virus a démontré sa capacité de fabriquer des variants. Ce qui interroge sur la faculté du vaccin à rester efficace sur ces virus variants.


dimanche 1 novembre 2020

Alcool et grossesse

Alcool et grossesse

Si vous êtes enceinte - ou essayez de devenir enceinte - vous vous demandez peut-être s'il est acceptable de boire de l'alcool.

Les dernières recherches sur l'alcool et la grossesse indiquent qu'il n'y a pas de niveau sûr de consommation d'alcool pendant la grossesse.

En fait, il y a cinq points importants à savoir sur l'alcool et la grossesse:

• Pour les femmes comme pour les hommes, il est plus sûr d'arrêter de boire de l'alcool avant de concevoir.

• Il est plus sûr de ne pas boire d'alcool du tout pendant que vous êtes enceinte.

• Le risque pour votre bébé à naître est le plus élevé lorsque vous buvez fréquemment des niveaux élevés d'alcool.

• Il existe des preuves suggérant que même une faible consommation d'alcool, en particulier au cours du premier trimestre de la grossesse, peut avoir des effets négatifs à long terme sur le bébé.

• Chaque femme et chaque bébé à naître sont différents, il n'y a donc aucun moyen de savoir comment votre consommation d'alcool affectera votre bébé à naître.

Boire de l'alcool met votre bébé à naître en danger

Lorsque vous êtes enceinte, l'alcool que vous buvez passe de votre sang au sang de votre bébé par le placenta.

Lorsque vous buvez, votre bébé à naître peut avoir à peu près la même concentration d'alcool dans son sang que vous dans le vôtre. Cela peut nuire au développement du cerveau de votre bébé et restreindre sa croissance et son développement physiques et cognitifs.

Certains des risques les plus graves liés à l'exposition de votre bébé à naître à l'alcool sont:

• croissance fœtale ralentie

• faible poids de naissance

• naissance prématurée

• fausse couche (perdre un bébé avant 24 semaines de grossesse)

• mortinaissance (un bébé est né mort après 24 semaines de grossesse)

• une gamme de troubles physiques, mentaux, comportementaux et d'apprentissage qui sont collectivement appelés trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (ETCAF).

Trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale

Le trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (ETCAF) est une gamme de troubles physiques, mentaux, comportementaux et d'apprentissage qu'une personne peut éprouver en raison de l'exposition à l'alcool du fœtus.

Il n'y a actuellement aucune information sur le niveau de consommation d'alcool qui cause l'ETCAF, il est donc recommandé d'éviter l'alcool pendant la grossesse comme mesure préventive.

On ne sait pas combien de personnes sont atteintes de l’ETCAF en Australie. Les experts soupçonnent qu'il y a plus de cas qu'on n'en rapporte. L'Enquête sur la Stratégie nationale antidrogue de 2016 auprès des ménages a révélé qu'un quart (25%) des femmes continuaient de boire après avoir découvert qu'elles étaient enceintes.

Boire de l'alcool met également les femmes enceintes à risque

Les femmes qui boivent pendant la grossesse peuvent également mettre leur propre santé en danger, en raison d'effets tels que:

• vomissements et déshydratation

• hypertension artérielle

• carence nutritionnelle

• diabète gestationnel.

Il n'y a pas de quantité d'alcool sûre pendant la grossesse

Les directives australiennes pour réduire les risques pour la santé liés à la consommation d'alcool du National Health and Medical Research Council (NHMRC) indiquent qu'il est plus sûr de ne pas boire du tout:

• pendant que vous êtes enceinte

• lorsque vous essayez de concevoir

• pendant que vous allaitez (parce que l'alcool peut passer dans le lait maternel et affecter les habitudes d'alimentation et de sommeil du bébé, ainsi que son développement physique et cognitif).

La consommation excessive d'alcool - boire tous les jours ou boire de façon excessive - comporte le plus grand risque pour votre bébé à naître, mais même un ou deux verres par semaine peuvent toujours causer des dommages à votre bébé à naître.

Voir les directives du NHMRC pour plus de conseils sur les niveaux de consommation et les boissons standard en Australie.

Si vous avez de la difficulté à réduire ou à arrêter votre consommation d'alcool, parlez-en à votre professionnel de la santé pour obtenir des conseils et du soutien.

Boire de l'alcool avant de savoir que vous étiez enceinte

Le risque pour votre bébé à naître d’une faible consommation d’alcool avant que vous sachiez que vous êtes enceinte n’est pas entièrement compris mais peut affecter le bébé en développement.

Il est recommandé d'arrêter de boire dès que vous savez que vous êtes enceinte pour éviter tout dommage potentiel. Vous voudrez peut-être demander à votre professionnel de la santé de vous aider à arrêter de boire, car cela peut être difficile à faire pour certaines personnes. Voir Alcool et grossesse sur le site Web du Royal Women's Hospital.

Les hommes peuvent-ils boire de l'alcool lorsqu'ils essaient d'avoir un bébé?

Des études suggèrent que la qualité du sperme est considérablement réduite si vous buvez de l'alcool régulièrement. Cela réduit les chances qu'un couple tombe enceinte. On pense également que la consommation d'alcool d'un homme avant la conception pourrait entraîner des problèmes de développement pour l'enfant à l'avenir, à la fois intellectuels et physiques.

Il est recommandé de réduire la quantité d'alcool que vous buvez ou de la couper trois mois avant d'essayer de concevoir.

Des études ont également suggéré que les femmes sont moins susceptibles de boire pendant leur grossesse si leurs partenaires s'abstiennent également. Lorsque les femmes enceintes bénéficient du soutien de leur entourage, il peut être beaucoup plus facile de dire non à l'alcool.

Voir Pause enceinte, où les partenaires et amis peuvent s'engager à ne pas consommer d'alcool pour soutenir leur partenaire ou amie enceinte.

Faits sur l'alcool

Faits sur l'alcool

 L'alcool est la drogue sociale la plus utilisée en Australie. C'est un médicament dépresseur qui ralentit les messages circulant entre le cerveau et le corps et peut affecter les gens de différentes manières. Plus le niveau de consommation d'alcool d'une personne est «risqué», plus il est susceptible de causer de graves problèmes de santé, personnels et sociaux. Les gros buveurs, les buveurs excessifs et les très jeunes buveurs sont particulièrement à risque.

Les effets de la consommation d'alcool sur la santé peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et d'autres facteurs de risque. La consommation excessive d'alcool est un problème chez les jeunes, mais quiconque boit beaucoup ou boit trop en une seule séance risque de subir des dommages immédiats et à long terme liés à l'alcool.

Le risque de blessure et de maladie augmente plus vous buvez.

Il n'y a pas de niveau de consommation d'alcool sans danger pendant la grossesse et il est plus sûr de ne pas boire du tout lorsque vous allaitez.

Si vous prévoyez de conduire, il vaut mieux ne pas boire du tout d'alcool.

Gérez votre consommation d'alcool

La consommation d'alcool peut augmenter votre risque de maladie et de blessure liées à l'alcool, notamment:

cancer de l'intestin, du sein, de la gorge et de la bouche

maladie du foie

maladie cardiovasculaire (MCV) (comme les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux)

problèmes de santé mentale

les accidents et les chutes (comme les accidents de la route et les intoxications à l'alcool).

Moins vous buvez, moins vous risquez de subir des dommages liés à l'alcool. Pour certaines personnes, ne pas boire du tout est l'option la plus sûre.

Directives australiennes sur l'alcool

Bien qu'il n'y ait pas de niveau de consommation sécuritaire, les directives suivantes peuvent vous aider à déterminer si votre consommation d'alcool est nocive:

Hommes et femmes adultes en bonne santé (plus de 18 ans) - pas plus de 10 verres standard par semaine et pas plus de 4 verres standard par jour.

Les enfants et les jeunes (moins de 18 ans) - ne doivent pas boire d’alcool (il n’existe pas de niveau «sûr» ou «sans risque»).

Les femmes enceintes ou qui planifient une grossesse - ne doivent pas boire d'alcool pour réduire le risque de nuire à leur bébé à naître.

Femmes qui allaitent - éviter l'alcool est plus sûr pour votre bébé.

Toute consommation d'alcool au-dessus des niveaux recommandés comporte un risque plus élevé. Le mélange d'alcool et d'autres drogues - qu'il s'agisse de drogues illégales ou de certains médicaments sur ordonnance - peut entraîner de graves problèmes de santé.