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jeudi 1 novembre 2012

Que ce sont Les thallophytes?

Ils n'existent que chez les gymnospermes et les angiospermes dicotylédones .Ils sont absents chez les ptéridophytes et rares chez les monocotylédones. les caractéristiques des méristèmes secondaires sont  -localisation : parties âgées des tiges et des racines -rôles : la croissance en épaisseur -cellules : grandes allongées et aplaties radialement -noyau : fusiforme petit appliqué contre la paroi -cytoplasme : peu important -vacuoles : une ou deux grandes vacuoles -paroi : paroi pecto-cellulosique mince -plastes : plastes non différencies, pro plastes -inclusion lipidique : peu nombreuses Les méristèmes secondaires (latéraux) sont a l'origine des formations ou tissus secondaires .Chez les dicotylédones et au niveau des tiges et des racines âgées. On trouve deux méristèmes secondaires qui se différencient tardivement. -l'assise génératrice libéro-ligneuse ou cambium, responsable de la formation du xylème secondaire (le bois) et du phloème secondaire (le liber) .Le liber est disposé vers l'extérieur .SA formation est centrifuge et donne des couches concentriques minces de cellules aplaties .Le bois se développe vers l’intérieur. Sa croissance est centripète .Il forme des couches annelles constituées de deux parties le bois du printemps clair et le bois d'automne plus sombre. L'assise génératrice subéro-phellodermique ou phellogène responsable de formation de liège et de phelloderme .L'ensemble de ces trois tissus forme le péri derme. Le liège est constitué de cellules aplaties radialement .Elles meurent âpres leur formation et se vident .Le phelloderme est orienté vers le centre .C'est un parenchyme typique parfois chlorophyllien. A-différenciation cellulaire Les cellules issues de la prolifération des cellules méristmatiques se transforment en tissus adultes. C'est la différenciation cellulaire. En général elle est caractérisée par les faits essentiels suivants: -augmentation de la taille des cellules, cette élongation est à l’ origine de la croissance des organes végétaux. -augmentation de la taille des vacuoles et leur fusion pour former une vacuole. -évolution du pro plastes (plastes primitifs) en plastes différenciés (chloroplaste, chromo-plastes). -formation de la paroi secondaire de texture rigide. Au milieu d'un vaisseau ligneux, la différenciation de poursuit avec la dégénérescence du noyau et des organites cellulaires ,la fusion du cytoplasme avec le contenu vacuolaire, la disparition totale ou partielle des parois transversales par digestion de la cellulose au niveau des pores et même la disparition totale du cytoplasme Au niveau d'un élément de phloème, une jeune cellule mère de l'élément se divise pour donner deux cellules de taille inégales ;la grande est le futur élément du tube criblé, alors que la petite représente la cellule compagne . Parallèlement on remarque la formation d'une protéine de rôle inconnu, la protéine p. L'élément criblé subit par la suite une série d’événement ;le noyau dégénère le tonoplasme se rompt, la première P se désintègre et les plasmadesmes s’élargissent pour donner des pores. A maturité le tube criblé est dépourvu de noyau et de vacuole alors que le reste du tonoplaste et de la protéine P tapissent les parois .Les pores de la plaque criblée sont ouvertes aux deux extrémités. En outre au même sujet de dédifférenciation cellulaire, certaines cellules différenciées (cellules parenchymateuses), peuvent se dé- différencier et retourner à l'état méristématique .Elles acquièrent ainsi la possibilité de se multiplier à nouveau. La dé- différenciation s'observe naturellement lors de la formation des méristèmes secondaires ou lors des bouturages et expérimentalement dans les cultures in-vitro par exemple. B- Les parenchymes Les parenchymes sont des tissus peu différenciés qui sont le siège des fonctions élaboratrices de la plante (photosynthèse et stockage des réserves) .Les cellules parenchymateuses sont en général isodiametriques ou allongées plus ou moins arrondies dans les angles Les espaces qu'elles délimitent alors entre elles, sont appelées méats ou lacunes selon leur taille. Leur paroi est mince et cellulosique. 1-Les parenchymes chlorophylliens Les parenchymes assimilateurs (ou chlorophylliens) sont situés dans les régions externes des jeunes tiges et dans les feuilles dont les cellules sont généralement arrondies laissant entre elles des méats même des lacunes. Ce sont les cellules de ces tissus qui produisent les matériaux énergétiques de la plante. Chez les monocotylédones au niveau de la feuille, le parenchyme chlorophyllien est formé par un seul type de cellules: c'est un parenchyme chlorophyllien homogène (mésophylle). Chez les dicotylédones on distingue deux types de parenchymes chlorophylliens (hétérogène):le parenchyme palis-sadique est constitué par des celles allongées serrées et riches en chloroplastes. Le parenchyme lacuneux est formé par des cellules arrondies laissant entre elles des lacunes. 2)-Les parenchymes de réserves Les parenchymes de réserve accumulent les substances énergétiques que la plante utilisera plus tard .L'amidon s'accumule dans les plastes, les oses, osides et protéines dans les vacuoles et les lipides dans le cytoplasme. Selon le type de matériau accumulé, on distingue différents types de parenchymes de réserve: les parenchymes amylacés des tubercules, les parenchymes saccharifères les cellules a réserves protéiques (aleurone) ou lipidiques dans les graines. Les parenchymes cortical et médullaire observés au niveau des coupes des tiges et des racines des plantes supérieures sont des parenchymes de réserves 3-Les parenchymes aérifères Les parenchymes aérifères sont des variétés de tissus lacuneux ou les lacunes emprisonnent de l'air. On les rencontre chez les plantes aquatiques. Exemple nymphea 4)-Les parenchymes aquifères Les parenchymes aquifères sont constitués de cellules volumineuses pourvues d'une vacuole très développée. Ils sont abondants dans les tiges ou les feuilles des plantes grasses ou ils constituent une réserve d'eau. Ils recouvrent les organismes végétaux et les protègent contre les agressions extérieures (climatiques, parasitaires.....).Ils sont classés en trois grandes catégories selon leur nature et l'endroit ou ils se trouvent. L’épiderme recouvre uniquement les organes aériens (tiges, feuilles) C'est un tissu formé d'une seule couche de cellules vivantes et sans chlorophylle. La face supérieure des cellules de l'épiderme est recouverte d'une paroi secondaire épaisse et imperméable égale cuticule. Comme la cuticule est imperméable, les échanges entre la plante et l’extérieur ne peuvent avoir lieu. Il n y a donc des structures spécialisées dans ces échanges ;ce sont des stomates. Un stomate est formé de deux cellules qui sont chlorophylliennes (vertes) entre lesquelles peut se produire une ouverture appelle ostiole .Sous cet ostiole se trouve un espace appelé chambre sous stomatique. Grace aux stomates, la plante va pouvoir réguler les échanges d'eau et de gaz nécessaires à la photosynthèse et la respiration. 1-Les stomates  Il existe deux types de stomates qui diffèrent par leur structure et leur fonctionnement Le stomate aérifère Un stomate aérifère est constitué par une ouverture, l’ostiole, délimitée par deux cellules réniformes les cellules stomatiques ou cellules de garde s'affrontant par leurs bords concaves .Le stomate aérifère contrôle les échanges gazeux (O2. CO2)et la transformation de l'eau a l’état gazeux(évaporée) Les stomates aquifères Aussi appelé hydathodes, ils servent a l'émission d'eau a l’état liquide (phénomène de guttation).Ils n'existent que sur les bords des feuilles et leur nombre est beaucoup plus faible que celui des autres stomates Un stomate aquifère est constitué comme un stomate aérifère. Toutefois l'ostiole ne communique pas avec une chambre sous stomatique a la place de celle- ci, il y a un massif de petites cellules dépourvues de chloroplastes, le tissu aquifère .A sa base se terminent les nervures .Les cellules stomatiques sont dépourvues de chlorophylle. L'ostiole reste donc toujours largement ouvert. 1-2 Les poils épidermiques L’épiderme de presque toutes les plantes porte des poils appelés trichomes qui sont des cellules épidermiques modifiées. Les parois des poils sont souvent minces et délicates mais il arrive qu'elles soient fortement épaissies calcifiées ou imprégnées se silice. Les poils jouent un rôle protecteur contre l’excès de transpiration. 2-Les tissus suberifiés  L'assise subereuse Le rhisoderme est le tissu de protection des organes souterrains comme la racine. Ke rhisoderme ne possède pas de cuticule car ces cellules ont pour rôle de puiser l'eau et les sels minéraux du sol. Par contre certaines cellules s'allongent pour former des poils absorbants qui vont puiser les substances du sol .Ce tissu est également appelé assise pilifère .Lorsque la racine vieillit la paroi des cellules de la couche sous-jacente à l'assise pilifère sera suberifiée. Il se forme une couche de cellules suberisées: c'est l'assise subéreuse. 2-2 Le liège ou suber Lors de la croissance en épaisseur des tiges, l’épiderme peut être remplacé par du liège. Le liège ou suber est formé de cellules ayant une paroi secondaire épaisse contenant une substance imperméable: la subérine. La présence de subérine entraîne la mort de la cellule qui se vide de son con tenu .La cellule est remplacée par de l'air ce qui fait que le liège est un tissu très léger. Par endroit le liège craque et forme des lenticelles. L’air peut ainsi passer entre les cellules pour atteindre les tissus situés plus en profondeur. Rappelons que le liège est formé par l'assise génératrice subero-phellodermique. D-Les tissus conducteurs Ils sont de deux types: -L'xylème ou tissu ligneux assure la circulation de la sève brute solution très diluée des sels minéraux du sol absorbés au niveau de la racine. -Le phloème ou tissu libérien ou tissu criblé assure la circulation de la sève élaborée riches en substances organiques synthétisées par les chlorenchymes. L'organisation des tissus conducteurs est de plus en plus complexe au fur et à mesure qu'on passe des Ptéridophytes aux gymnospermes aux angiospermes. Au maximum de complication, xylème et phloème sont constitués de divers éléments. Les éléments conducteurs pour l'xylème trachéide et pour le phloème tubes criblés 1-l'xylème 1-1 Les éléments fonctionnels: -Les trachéides ce sont les éléments conducteurs primitifs qui constituent la presque totalité du xylème des végétaux les moins évolues (gymnospermes et Ptéridophytes).Elles sont constitués de cellules mortes a la fin de leur différenciation .Chaque trachéide est une cellule unique allongée longitudinalement a extrémités effilées en biseau et dotée d'une paroi transversale. Leur paroi primaire est cellulosique et leur paroi secondaire est lignifiée. Les trachéides communiquent entre elles par des interruptions de leur paroi secondaire appelées ponctuations. On distingue deux types de trachéides: a- les trachéides scalariformes : elles caractérisent l'xylème de ptéridophytes. a paroi secondaire lignifiée forme des bandes parallèles a la maniéré des barreaux d'une échelle. Les espaces cellulosiques entre ces bandes (paroi primaire) représentent des ponctuations scalariformes. b- Les trachéides aréoles : elles caractérisent l'xylème des gymnospermes leur paroi porte des ponctuations aréolaires .Sur une coupe, une ponctuation aréolaire présente de part et d'autre de la paroi un décollement de la paroi secondaire lignifiée .Au centre, la paroi primaire présente un épaississement de cellulose appelé lignine. Les vaisseaux ligneux (ou trachées).Ils caractérisent l'xylème des végétaux vasculaires les plus évolués(angiospermes).Un vaisseau est constitué de plusieurs cellules mortes disposées bout à bout .Au cours de leur développement les parois transversales disparaissent pour former une sorte de tube qui constitue un excellent canal conducteur d'eau pouvant avoir plusieurs mètres de longueur et au moins 30 de diamètre .La paroi primaire est cellulosique la paroi secondaire présente des épaississements de lignine de forme spirale annelée réticulée ou spiralée. Les trachéides communiquent entre elles par des interruptions de leur paroi secondaire appelées ponctuations. On distingue deux types de trachéides: 1-2 Les éléments accessoires -Le parenchyme ligneux (ou parenchyme vasculaire):il est constitué de cellules vivante dont le cytoplasme renferme des réserves 'grains d'amidon, lipides ...).Leur paroi est plus aux moins lignifiée avec des ponctuations .Les cellules du parenchyme ligneux s’étendent verticalement dans l'intervalle des fibres ligneuses et forme ce qu'on appelle rayons ligneux ou rayons médullaires. -Les fibres ligneuses : chargées d'augmenter la rigidité et l'imperméabilité du bois. Elles sont le plus souvent constituées de fibres de sclérenchyme entourant ou reliant les vaisseaux xylémiens les uns des autre .Il s'agit de cellules mortes allongées longitudinalement effilées aux extrémités .Leur paroi lignifiée est épaisse ; leur lumière réduite ; leur paroi porte des ponctuations peu nombreuses. 1.2 Les différents xylèmes -le xylème primaire: le xylème primaire provient de la différenciation du méristème primaire (monocotylédone et jeunes dicotylédones).Chez les monocotylédones les faisceaux de xylème ne comportent que de vaisseaux que de vaisseaux conducteur sans éléments accessoires (ni fibre ni parenchyme).Le protoxyleme (le premier apparu) est formé par de vaisseaux de petites tailles. Leur différenciation donne le métaxyleme marqué par des vaisseaux volumineux (les plu anciens) -le xylème secondaire ou bois est caractérisé par un alignement radial de ses cellules du fait des caractéristiques de fonctionnement du cambium libéro-ligneux (méristème secondaire):il se forme en position interne par rapport au cambium et même a la formation de vaisseaux, de fibres de parenchymes verticaux et fondamentaux. 2- Le phloème 2-1 Les éléments fonctionnels du phloème -Les tubes criblés Ils sont constitués de cellules vivantes disposées bout a bout. Ces cellules ont une durée de vie courte et sont a nucléés en fin de différenciation. Leur paroi est pecto-cellulosique et épaisse, porte de nombreux pores ou cribles d'un .Le nom de cellules criblées. 2.-2 Les éléments accessoires du phloème -Les cellules compagnes ou parenchymes phloèmien ou parenchyme libérien le long de chaque cellule criblée il y a une à trois cellules étroites allongées, les cellules compagnes. Ce sont des cellules vivantes à noyau volumineux et a paroi cellulosique mince et non criblés. Les cellules compagnes peuvent remplacer les cellules criblées lorsque ces dernières meurent. -Les fibres libériennes: La rigidité du tissu criblé est souvent assurée par l'interposition entre les vaisseaux du phloème des fibres libériennes. Les fibres sont des cellules mortes identiques aux fibres ligneuses. -Le parenchyme libérien: il est formé de cellules vivants a paroi cellulosique non criblée, il est généralement riche en amidon. 2-3 Les différents types de phloème -Le phloème primaire: Selon le moment de vie de la cellule il existe différents types de phloème. Le proto-phloème le premier formé caractérise les organes jeunes. Il est reconnu par ces tubes criblés de faible diamètre. Puis il y a le méta-phloème caractérisé par des tubes de plus calibre. Ces deux tissus sont présents chez toutes les angiospermes (monocotylédones et dicotylédones) -Le phloème secondaire: le liber qui est un phloème secondaire n'est présent que chez les dicotylédones. La différence est difficile a voir entre le phloème primaire et le secondaire. Dans le tissu secondaire les cellules sont toujours alignées les unes par rapport aux autres les éléments conducteurs sont des éléments criblés. E-Les tissus de soutien Les tissus de soutien assurent la souplesse et rigidité aux organes de la plante. Le collenchyme se forme dans les organes jeunes tandis que le sclérenchyme se rencontre dans les organes dont l'allongement est achevé. 1- Le collenchyme Il se forme dans les organes jeunes en croissance aériens essentiellement. C’est un tissu vivant dont les parois sont épaissies par un dépôt de cellulose ce qui confère a la plante une grande résistance a la flexion et a la traction une élasticité et une certaine souplesse. Il est généralement situé en anneaux ou en îlots sous l'épiderme des tiges et des pétioles ou encore accolé a des vaisseaux conducteurs dans les pétioles et les limbes des feuilles. Le collenchyme -tissu vivant annulaire : dépôt de cellulose uniformément réparti tout autour de la paroi -cellules fusiformes plus ou moins allongées -paroi cellulosique épaissie angulaire épaississement cellulosique de la paroi aux angles -fin cytoplasme noyau vacuole unique et volumineuse tangentiel épaississement des parois tangentielles seulement (parois parallèles à la surface externe) -3 types selon l'épaississement Le collenchyme -tissu de soutien paroi primaire épaisse et résistante (épaisse surtout dans les coins= élastique et peu rigide -cellules vivantes allongées (forment des fibres -2 mm de longueur) - pas de paroi secondaire donc pas de lignine donc paroi souple :la cellule peut s'allonger -soutien des parties en croissance comme les jeunes tiges ou les feuilles. 2-Le sclérenchyme Il est le tissu de soutien des organes dont l'allongement est achevé. C’est un tissu confère dureté et rigidité à la plante. -Sclérenchyme tissu mort cellules allongées paroi épaisse lignifiée imperméable :fibres scléreuses cellules très allongées en fuseau à lumière étroite section transversale circulaire elliptique ou polygonale .En anneau continu sous l'épiderme proche du cylindre central ou regroupées en îlots -ponctuations 2 types de cellules sclérites: cellules courtes de forme variable isolées dans les parenchymes groupées en amas ou en assises continues. Elles assurent la rigidité ou la consolidation des organes. On peut rapprocher du sclérenchyme le parenchyme sclérifié qui provient de la lignification des parois de cellules parenchymateuses dans des organes dont la croissance est achevée (exemple: parenchyme médullaire) Le sclérenchyme -cellules de soutien des parties de la plante qui ne sont plus en croissance -cellules généralement allongées (peuvent être très longues quelques millimètres à plusieurs centimètres) forment des fibres végétales -paroi secondaire épaisse et rigide imprégnée de lignine -rigides ne peuvent pas croître cellules mortes a maturité Le collenchyme c'est un tissu constitué de cellules vivantes dont la paroi secondaire est épaissie par un dépôt de cellulose. Le sclérenchyme et les éléments sclérifiés les éléments sclérifiés sont des cellules mortes dont toute la paroi est plus ou moins lignifiée. Ces éléments peuvent être isolés au milieu d'autres tissus (sclérites) ou former des amas plus ou moins importants (fibres sclérifiées) ou encore des tissus-cellules sclérifiées); F- Les tissus sécréteurs Ce sont des tissus spécialisés dans la synthèse de certaines substances comme des essences, résines et des latex. Les tissus sécréteurs peuvent accumuler leurs produits de synthèse au sein même de leurs cellules ou les rejeter hors de celles-ci dans des cavités ménagées dans les organes végétaux. Dans ce dernier cas il y à exécution des produits sécrétés .Plusieurs espèces de plantes qui secrètent des produits font l'objet de culture afin de récolter les substances sécrétés (parfums huiles essentielles caoutchouc naturel etc. On distingue quatre catégories de tissus sécréteurs: 1). cellules sécrétrices isolées: ce sont des cellules isolées ou groupées par deux ou trois cellules situées dans du parenchyme ‘cellules a tanins chez le rosier cellules a camphre chez le camphrier. 2). Épiderme et poils sécréteurs: certaines cellules épidermiques élaborent et accumulent dans leur cytoplasme des essences volatiles qui en se vaporisant au travers des cuticules assez minces de ces épidermes produisent les parfums de certaines plantes (pétales de rose poils du thym romarin colleurs basilic etc. Les poils sécréteurs ont souvent pour fonction d'accumuler des huiles essentielles. 3).Cellules laticifères : les laticifères sont des cellules qui en se divisant ne formeront pas leurs parois transversales et formeront ainsi un long tube appelé laticifère. Ce tube peut atteindre plusieurs mètres de long chez l’hévéa. Ces tubes élaborent le latex. 4). les poches sectatrices: formées de cellules entourant une cavité 'poche) et libérant leur contenu dans cette cavité (agrumes). 5) les .canaux sécréteurs: groupes de cellules sécrétrices qui se regroupent pour former des espaces collecteurs ou s'accumuleront les substances secrétées. Ces cellules portent le nom de canal résineux chez les gymnospermes (appelés les résineux).Ces canaux sont très allongés et parcourent parfois toute la plante.

Quelle est la fonction du cytoplasme?

Le cytoplasme possède trois fonctions de base dans les cellules des organismes vivants. Composé de trois éléments de base, le cytoplasme est un moyen de suspension pour les organites dans la cellule. La fonction de cytoplasme est également un moyen de transport pour le matériel génétique et les produits de la respiration cellulaire. Comme le cytoplasme est un liquide, il agit comme un tampon, la protection de matériau et organelles génétique de la cellule contre les dommages dus à un mouvement ou d'une collision avec d'autres cellules.
Les trois parties principales du cytoplasme sont cytosol, les organelles et des inclusions cytoplasmiques. Le cytosol est le liquide qui suspend les organites; il est principalement de l'eau avec quelques brins de protéines qui aident à soutenir les organites. Les organites sont des pièces spécialisées de la cellule, chacun ayant sa propre fonction; principales fonctions des organites comprennent la respiration cellulaire, la création de nouvelles protéines et de la destruction des déchets. Enfin, des inclusions cytoplasmiques sont des molécules non solubles dans le cytoplasme flottantes; dans de nombreuses cellules, ces inclusions sont stockées les graisses et les sucres prêt pour la respiration cellulaire.
La fonction principale du cytoplasme est d'agir comme un moyen de suspension pour les organites d'une cellule, en gardant la structure interne d'une cellule intacte. Comme organites sont pas flottabilité neutre dans le cytoplasme en raison de l'évolution des concentrations de solutés, les brins de protéines décrites dans le paragraphe précédent sont nécessaires pour maintenir en place les organites. Le cytoplasme des protéines et empêchent la gravité de regroupement des organites à proximité du fond de la cellule, un événement qui pourrait entraver considérablement leur fonction.
Chaque cellule est une usine génétique et moléculaire. Une fonction secondaire, mais pas moins important de cytoplasme est d'agir comme un moyen de transport pour les matériaux de la cellule utilise et produit. Tout, depuis les blocs de construction de l'ARN pour les unités de stockage d'énergie chaque cellule a besoin pour survivre tout voyage à travers le cytoplasme. À cet égard, la fonction de cytoplasme a un avantage supplémentaire: des blocs de construction moléculaires peuvent simplement flotter à travers le cytoplasme jusqu'à ce que nécessaire. Aucune unité de stockage supplémentaire est nécessaire.
La fonction finale du cytoplasme est d'offrir une protection. Toutes les cellules subissent le mouvement sous une forme ou une autre. Le contact avec d'autres cellules ou surfaces extérieures est tout sauf certaine. Le cytoplasme agit comme un tampon dans ces cas, la protection des organites du choc de l'impact. Cette fonctionnalité est particulièrement important pour le lysosome, un organite. Lysosomes contient des enzymes pour décomposer les déchets d'une cellule. Si cytoplasme était pas présent, le lysosome serait probablement la rupture lors de l'impact, ses enzymes libérées tuant la cellule entière.

Quelle est la rupture trachéale ou bronchique ?

Une rupture trachéale ou bronchique  est une déchirure ou rupture dans la trachée (trachée) ou des bronches, les voies aériennes principales menant aux poumons. Une larme peut également se produire dans le tissu tapissant la trachée. Autres noms Déchiré muqueuse trachéale; La rupture bronchique Causes : La blessure peut être causée par: •         Infections •         Plaies (ulcérations) due à des objets étrangers •         Traumatisme, comme une blessure par balle ou d'un accident automobile Les blessures à la trachée ou les bronches peuvent également se produire lors de procédures médicales (par exemple, une fibroscopie bronchique et le placement d'un tube de respiration). Cependant, ceci est très rare. Symptômes : Les patients traumatisés qui développent une trachéale ou bronchique rupture ont souvent d'autres blessures. Les patients peuvent: •         Cracher du sang •         Développer des bulles d'air qui peuvent être ressentis sous la peau de la poitrine, le cou, les bras et le tronc •         Avoir de la difficulté à respirer examens et tests •         Scanner thoracique •         La radiographie thoracique •         La fibroscopie bronchique Traitement :Les gens qui ont eu un traumatisme devront avoir leurs blessures traitées. Les blessures à la trachée ont souvent besoin d'être réparé pendant la chirurgie. Les blessures aux petites bronches peuvent parfois être traitées sans chirurgie. Un collapsus pulmonaire est traitée avec un tube d'aspiration relié à la poitrine, ce qui ré-expansion du poumon. Pour les patients qui ont respiré un corps étranger dans les voies respiratoires, la bronchoscopie rigide ou fibre optique peut être utilisée pour prendre l'objet. Les antibiotiques sont utilisés chez les patients présentant une infection dans la partie du poumon autour de la blessure. Outlook (pronostic) : Pour les patients traumatisés, les perspectives dépend de la gravité d'autres blessures. Les opérations pour réparer ces blessures ont souvent de bons résultats. Les perspectives sont bonnes pour les personnes dont la trachée ou des bronches perturbation est due à d'autres causes. Dans les mois ou années après la blessure, les cicatrices à l'endroit de la blessure peut provoquer des problèmes qui nécessitent d'autres tests ou procédures. Complications possibles : Les complications majeures après une intervention chirurgicale pour cette maladie comprennent: •         Infection •         Besoins à long terme d'un ventilateur •         Rétrécissement des voies respiratoires •         Cicatrisation Quand contacter un professionnel médical Contactez votre fournisseur de soins de santé si vous avez: •         Eu une blessure grave à la poitrine •         Inhalation d'un corps étranger •         Les symptômes d'une infection des voies respiratoires

Comment le pétrole et le gaz peuvent se former?

La formation du pétrole et du gaz Au cours de l’enfouissement de la matière organique, l’augmentation de la température provoque une dégradation thermique des kérogènes, avec comme conséquences la formation de pétrole et de gaz thermique. Cette formation est réglée par l’histoire thermique des sédiments et se d écrit en termes de cinétique chimique. On distingue trois stades successifs dans la dégradation. *Un premier stade appelé diagenèse, ou zone immature, au cours duquel se forment surtout du gaz carbonique et de l’eau. Corrélativement le kérogène est appauvri relativement en oxygène. *Un deuxième stade appelé catagenèse, au cours duquel se forment successivement de l’huile (pétrole), puis du gaz humide. Corrélativement le k érogène est appauvri relativement en hydrogène. *Un troisième stade appelé métagenèse, au cours duquel se forment du gaz sec essentiellement à partir de l’huile et du gaz humide formés auparavant. Le kérogène est réduit à un résidu carboné poly aromatique dont la structure se réorganise progressivement. Toutes ces transformations ont lieu avant le métamorphisme minéral, au cours duquel le kérogène résiduel peut être transformé en graphite .Les kérogènes produisent d’autant plus de pétrole et de gaz thermique au cours de l’enfouissement qu’ils étaient initialement riches en hydrogène. La composition du pétrole A u sens chimique strict, les hydrocarbures sont des composés saturés, instaurés et automatiques uniquement constitué de carbone et d’hydrogène. Or, le pétrole ou l’extrait lipidique des roches comprennent également des molécules ou existe aussi des hétéroatomes comme l’oxygène(O), l’azote(N),le souffre) ou autres métaux(Cu, Zn, Ni, V…..).Les composés hydrocarbonés de ce type sont désignés par les géochimistes sous le valable de composés polaires, produits lourds ou composés NSO. Toute opération de caractérisation du pétrole ou de l’extrait lipidique libre dans une roche doit passer par le fractionnement des différents constituants chimiques qui les composent et en donne une seule phase naturelle. La composition de la matière organique se résume en trois fractions, il s’agit de : *la fraction d’hydrocarbures saturés (H .C .S) constituée d’alcanes(ou paraffines) et de cyclanes (ou naphtènes). Les alcanes concernant aussi bien ceux à structures linéaires (normaux ou n-alcanes)que ceux à structure ramifiée(so-alcanes) *la fraction d’hydrocarbures aromatiques(H.C.A) constitue d’aromatiques vrais ou de naphta no-aromatiques. *la fraction lourde constituée de composés pourvus d’hétéroatomes (N.S.O …) qui sont formés d’acides gras d’esters, d’alcools, d’hétérocycles….et qui de point de vue analytique, sont souvent regroupés en résines et asphaltenes. La réparation pondérale de chaque fraction est donnée essentielle dans l’établissement de la nature, de l’origine, de l’état d’évolution et de l’habitat lithologique de la matière organique sédimentaire La migration des hydrocarbures et la constitution des gisements La formation du pétrole et du gaz a lieu dans les roches à matière organique, l es roches mères qui sont généralement des roches à grain fin donc peu perméables. Les hydrocarbures formés sont donc inexploitables. Pour former des gisements commerciaux, le pétrole doit être donc expulsé des roches mères c’est la migration primaire. Il chemine ensuite par des drains perméables jusqu’à un piégé constitué d’une roche poreuse et perméable, la roche réservoir et d’une barrière (couverture argileuse fermeture contre faille) c’est la migration secondaire. Des fuites peuvent se produire à travers la barrière, c’est la migration tertiaire ou dysmigration Le principal moteur de la migration primaire est la compaction hydrocarbure et eau sont insoluble. L’un dans l’autre. Ils forment des phases séparées à l’intérieur de la roche mère et l’expulsion est donc poly phasique (poussée d’Archimède). L’altération du pétrole dans les gisements et la formation des asphaltes Dans les gisements, le pétrole peut altérer sous l’effet de divers processus physico-chimiques, mais aussi biochimiques. La plupart de ces processus conduisent à un alourdissement des pétroles dont le terme extrême est la formation des asphaltes. Les hydrocarbures sont donc un sous-produit obligé de l’évolution des matières organiques à la cour de l’enfouissement des qu’une température minimale variable suivant l’âge des bassins est atteinte .La formation des gisements est par contre beaucoup plus aléatoire.

Quels sont les autres déterminants de la consommation et de l’épargne ?

1. Le taux d'intérêt :

 Les économistes ont longtemps considéré que la consommation et l'épargne dépendaient du taux d'intérêt réel et du niveau général des prix. Selon les auteurs classiques, la propension à épargner (épargne/revenu) serait une fonction croissante du taux d'intérêt réel : un fort taux d'intérêt, correspondant à une forte rémunération de l'épargne, incite à diminuer sa consommation présente au profit de l'épargne, selon un effet de substitution. De plus, l'augmentation des taux d'intérêt se traduit par une baisse de la valeur du patrimoine, ce qui devrait mécaniquement favoriser l'épargne pour maintenir la valeur de celui-ci. Mais la relation positive entre taux d'intérêt et épargne, est contrebalancée par un effet de revenu : pour un ménage qui souhaite effectuer des placements financiers, une hausse des taux d'intérêt signifie une hausse des revenus futurs, ce qui peut inciter à réduire l'épargne nécessaire pour constituer un patrimoine donné. En fait, la réaction de l'épargne au taux d'intérêt est difficile à déterminer. Si la consommation présente et la consommation future sont fortement substituables, l'effet de substitution sera fort et l'emportera sur l'effet de revenu. En revanche, si la consommation future est ressentie comme complémentaire de la consommation présente, l'effet de revenu l'emportera sur un effet de substitution faible.

2. L’inflation : 

Les effets de l'inflation sur l'épargne, sont particulièrement ambivalents. Les mouvements de hausse et de baisse des prix altèrent la valeur réelle des actifs, et du même coup celle de la consommation globale. D'un côté pour conserver la valeur réelle de leur patrimoine financier, les ménages sont contraints à épargner plus - c'est le phénomène théorisé par Pigou sous le nom d'effet d'encaisse réelle (ou effet Pigou), mais d'un autre côté, l'anticipation de l'inflation par les agents économiques, peut les conduirent à acheter dès maintenant ce qu'ils paieront plus cher plus tard : on parle alors de fuite devant la monnaie.

3. Le comportement d'épargne de précaution :

D'autres facteurs, de nature extraéconomique, ne doivent pas être négligés : le milieu social, les croyances, l'éducation... contribuent à expliquer le montant et la structure de la consommation. Le comportement d'épargne peut, par exemple, résulter de ces déterminants. Pour un revenu du travail supposé aléatoire, la consommation dépend non seulement de l'espérance, mais aussi de la variance du revenu anticipé. Ainsi, en supposant que le consommateur est averse au risque mais également prudent, l'équivalence à l'incertitude est rejetée et l'agent épargne d'avantage. Le volume de cette épargne de précaution est une fonction croissante de son degré de prudence absolue et de la variance du revenu anticipé, qui dépend elle-même du degré de persistance ou d'autocorrélation des aléas affectant le revenu, c'est à dire de leur caractère durable ou provisoire.



Ce que sont les champignons?

Ces spores sont produites dans les sporocystes protégés par des fructifications. Chez les ascomycètes, les sporocystes sont des asques produisant des spores appelées ascospores. Les fructifications peuvent être : -une apothécie pour la sous classe des discomycètes exemple péziza. - une périthèce plus fermée, pour la sous-classe des pyrénomycètes, exemple : penicillium, aspergillus sordaria. Chez les basidiomycètes, les sporocystes sont des basides produisant les basidiospores et peuvent être protégés par les lamelles de la fructification ou carpophore. Au niveau des fructifications, les cellules terminales des filaments dicaryotiques se transforment en asque ou en baside, Il y a d’abord union de deux noyaux : c’est la caryogamie. Cette caryogamie est suivie d’une méiose et d’une mitose pour les asques. On obtient alors huit ascospores endogènes. Par contre pour la baside, il n’y a qu’une méiose et les quatre noyaux haploïdes passent à l’extrémité de quatre appendices appelés stérigirates pour former les basidiospores. On dit qu’elles sont exogènes. Le mode de formation de ces tétrapodes permet de distinguer nettement et sans ambigüité, deux classes : les ascomycètes à spores endogènes et les basidiomycètes à spores exogènes. Les ascospores et les basidiospores sont des spores réductionnelles qui permettent le passage de la phase dicaryotique à la phase haploïde Chez les zygomycètes (champignons inférieurs) il y a aussi production de spores réductionnelles et la méiose a lieu dans le zygote. Chez les champignons, on rencontre tous les types de cycle de reproduction comme chez algues.. .*Chez les champignons inferieurs : le cycle peut être -mono génétique haploïde exemple- monoblepharis (phycomycètes) -Mucor, rhizopus (zygomycètes) Le cycle de développement des zygomycètes Le cycle de développement des zygomycètes 1- Des mycéliums de types sexuels opposés 2- forment des prolongements appelés gamétanges cloisonnés à plusieurs noyaux. 3- Les gamétanépais et rugueux pour résister aux rigueurs du climatiques haploïdes fusionnent et forment un zysporange diploïde. 4- La cellule se recouvre d'un revêtement  5- Lorsque les conditions s'améliorent, la méiose survient 6- Le zygosporange germe et produit des petits sporanges 7- Les spores haploïdes se dispersent 8- Les spores germent et deviennent des nouveaux mycéliums -Monogénétique diploïde exemple saprolegna, Albugo,(phycomycètes) Exemple du Fucus Exemple de la spirogyre -Digenetique :exemple Allomycessja vanicus(phycomycetes) Exemple de la Laitue de Mer *Chez les champignons supérieurs : le cycle peut être -digenetique: chez les basidiomycètes à carpophore ,exemple: coprin (petit champignon noir sur les bouses de vache) avec une génération haploïde en une génération diploïde dicarpotique